Nancy Huston
Actes sud, 2013
347 pages
Résumé : Sur un lit d'hôpital, Milo s'éteint lentement. A son chevet, le
réalisateur new-yorkais Paul Schwarz rêve d'un ultime projet commun : un
film qu'ils écriraient ensemble à partir de l'incroyable parcours de
Milo. Dans un grand mouvement musical pour chanter ses origines d'abord
effacées puis peu à peu recomposées, ce film suivrait trois lignes de
vie qui, traversant guerres et exils, invasions et résistances, nous
plongeraient dans la tension insoluble entre le Vieux et le Nouveau
Monde, le besoin de transmission et le rêve de recommencement. Du début
du XXe siècle à nos jours, de l'Irlande au Canada, de la chambre sordide
d'une prostituée indienne aux rythmes lancinants de la capoeira
brésilienne, d'un hôpital catholique québecois aux soirées prestigieuses
de New York, cette histoire d'amour et de renoncement est habitée d'un
bout à l'autre par le bruissement des langues et l'engagement des
coeurs. Film ou roman, roman d'un film, Danse noire est l'oeuvre totale,
libre et accomplie d'une romancière au sommet de son art.
Je remercie grandement Price Minister pour ce
partenariat réalisé dans le cadre de l’opération « Match de la rentrée
littéraire »
Le sujet de « danse noire » me
semblait intéressant. Milo, sur son lit de mort, raconte à un cinéaste sa vie,
celle de sa mère et de son grand-père. Les plans se succèdent, s’alternent. On
passe d’un personnage à l’autre, comme on change de plan au cinéma. L’auteur
utilise de nombreux termes spécifiques au monde du cinéma, à la réalisation de
films. Ce livre varie comme varie un film.
Cependant, je n’ai pas réussit à lire ce
roman en entier. Je me suis arrêtée très vite du fait de la présence de
nombreux dialogues en anglais qui gênaient ma lecture. Je ne suis pas assez
doué dans la langue de Shakespeare pour suivre des dialogues en langue originale.
Je me suis arrêtée malgré la présence de la traduction en bas de page. Je n’avais
pas vraiment envie de lire le début de la page, puis descendre lire les notes
et remonter à la lecture linéaire.
C’est pour cela que j’ai choisi d’arrêter ma
lecture.
Je n’ai pas mis de note à ce roman car il m’est
impossible de noter un livre que je n’ai pas lu.
En conclusion : livre que je n’ai pas pu
lire du fait de sa structure et non du fait de son contenu.
24/170
idée n°2 : une lampe
Le résumé me tentait bien mais ton billet me laisse perplexe...
RépondreSupprimerC'est vraiment l'alternance de langue qui m'a gêné... Si tu dépasses cela, peut-être qu'il te conviendras.
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