Sebastian Fitzek
L'Archipel, 2013
391 pages
Résumé : Une vague de crimes d'une cruauté sans précédent s'abat sur Berlin. Un
tueur en série s'infiltre dans les foyers en l'absence du père de
famille, tue la mère, enlève l'enfant et accorde un ultimatum à la
police pour le retrouver.
Passé cet ultimatum, l'enfant est assassiné. En référence à l'oeil gauche qu'il prélève sur ses victimes, les médias lui ont attribué un surnom : le Voleur de regards...
Alexander Zorbach, un ancien policier devenu journaliste, se rend sur une nouvelle scène de crime. Une mère de famille a été assassinée et son fils de 9 ans a disparu.
Alexander se retrouve pris dans l'engrenage du jeu machiavélique auquel se livre le Voleur de regards, qui veut lui faire porter le chapeau.
Zorbach a 45 heures pour retrouver l'enfant et prouver son innocence. Le compte à rebours est lancé...
Passé cet ultimatum, l'enfant est assassiné. En référence à l'oeil gauche qu'il prélève sur ses victimes, les médias lui ont attribué un surnom : le Voleur de regards...
Alexander Zorbach, un ancien policier devenu journaliste, se rend sur une nouvelle scène de crime. Une mère de famille a été assassinée et son fils de 9 ans a disparu.
Alexander se retrouve pris dans l'engrenage du jeu machiavélique auquel se livre le Voleur de regards, qui veut lui faire porter le chapeau.
Zorbach a 45 heures pour retrouver l'enfant et prouver son innocence. Le compte à rebours est lancé...
Mon avis
Sublime thriller machiavélique, terriblement addictif, avec un final détonnant. L'intrigue avance très vite. On ne veut pas qu'il se finisse par ce retournement de situation.
Les personnages sont très attachants : notamment Alex, ex-flic reconverti en journaliste et son assistant Frank qui cache bien des choses.
Une petite bizzarerie volontaire c'est glissée dans la mise en page : le roman commence par l'épilogue et la numérotation des chapitres descend jusqu'au prologue. Ce système trouve sa justification avec le contenu de ce prologue.
Ce roman est le troisième de cet auteur que je lis et à chaque fois je me laisse surprendre par la résolution de l'énigme, la découverte du coupable. On ne sait jamais à quoi veut arriver Sebastian Fitzek.
En conclusion : machiavèlique, addictif, excellent.
5/170
idée n°59 : une capuche
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