Catherine Mavrikakis
Wespieser, 2014
193 pages
Résumé : Dédiée « aux quarante voleurs », La Ballade d’Ali Baba est un hommage
ébouriffant au père disparu. De Key West, où il conduit ses filles dans
sa Buick Wildcat turquoise afin de saluer la naissance de l’année 1969, à
Kalamazoo, où il les dépose pour une semaine et où il ne viendra jamais
les récupérer, en passant par Las Vegas où il prétend utiliser son
aînée de dix ans, Érina, comme porte-bonheur près des tables de jeu,
Vassili Papadopoulos donne le change et veut épater la galerie.
Mon avis
L'auteur nous
emmène au Québec, où l'on suit Erina qui fait une rencontre des plus étonnantes
: 9 mois après la mort de son père, elle tombe nez à nez avec son fantôme.
Erina ne parlait plus à son père depuis de nombreuses années. Cette rencontre
sera pour elle l’occasion de faire la paix avec cet homme qu’elle ne
connaissait, finalement, pas si bien que ça.
L’auteur nous
emmène dans l’enfance d’Erina au Québec… Elle nous raconte l’histoire de ce
père depuis son enfance en Grèce en Algérie jusqu’à son arrivée au Canada.
L’écriture de
Catherine Mavrikakis est vraiment magnifique. On se laisse porter par ses mots
avec un plaisir non dissimulé.
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